
"Spreckelsen est inquiet : ces Français se fichent bien de la belle ouvrage. Belmont et Andreu-Chevallier sont inquiets : les retards sont terribles, il faut cravacher. Le maître d'ouvrage est inquiet : les clients ne se bousculent pas ; le Carrefour ne ressemble toujours à rien. Dauge est inquiet : Miterrand le fait venir tous les trois mois pour lui dire : J'ai vu Monsieur Spreckelsen, il est malheureux. Les socialistes sont inquiets : le vent a tourné, la crise économique est rude, nous allons être obligés de compter ; ce n'est pas...
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